La 9ème édition du Dîner gala de l’Observatoire Africain pour la promotion de la Bonne gouvernance est prévue le samedi 02 Août à l’hôtel Président de Yamoussoukro

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La neuvieme édition du dîner gala de l’Observatoire africain pour la promotion de la bonne gouvernance se tiendra, le samedi 02 Août 2025, à l’hôtel Président de Yamoussoukro, a annoncé, son président du comité d’organisation, Rodrigue Koffi lors d’un point de presse récemment.

Placé sous le signe de l’excellence et du mérite, ce dîner gala promu par l’Observatoire africain qui regroupe en son sein plusieurs journalistes, communicateurs et assimilés de toutes obédiences, vise à faire la promotion des cadres et compétences en Côte d’Ivoire.

Le jury de cette soirée composé de professionnels des médias, a travaillé d’arrache-pied pour sélectionner les meilleurs acteurs, chacun dans son domaine d’activité. Parmi les lauréats, figure, l’unité de gestion du port sec de Ferkessédougou (UGP-PSF), qui recevra :

Le « Prix Bonne Gouvernance de la Performance dans la Coordination de Projet de Transport en Côte d’Ivoire ».

   Le Port sec de Ferkessédougou

L’UGP-PSF dirigé par une équipe d’expert avec à sa tête Abdoulaye ALLIAGUI, un projet à fort impact économique et social.

Abdoulaye ALLIAGUI est l’actuel Directeur de Cabinet adjoint du Ministère des Transports et Coordonnateur du projet port sec de Ferkessédougou. Il est Ingénieur des Travaux Publics de formation, diplômé de l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët Boigny (INPHB) de Yamoussoukro. De plus, il possède un DESS en Éthique Économique et Développement Durable obtenu au CERAP-INADES d’Abidjan

Le port sec de Ferkessédougou un projet innovant. Pour développer un nouveau pôle de croissance et une zone économique de développement au service de l’intégration des peuples et des économies de la sous-région. Assurer également une croissance économique significative et réaliser les objectifs de développement.

L’objectif premier est de réduire et optimiser les circuits d’approvisionnement. Comme objectifs spécifiques, la réalisation du projet permettra demain de mettre en valeur les potentialités économiques, des districts des Savanes (Poro, Tcologo, Bagoué) et du Zanzan (Bounkani et Gontougo) et tirer profit des potentialités économiques des régions frontalières de Sikasso (Mali) et de Bobo-Dioulasso (Burkina Faso). Le port sec de Ferkessédougou mettra à la disposition des opérateurs économiques nationaux et régionaux, les conditions optimales d’accueil en vue de réduire les coûts de transit et de transport. Elle rendra plus performants les échanges commerciaux entre la Côte d’Ivoire et les pays de son hinterland comme le Mali, le Burkina et le Niger, boostera un nouveau pôle de croissance et une zone économique de développement au Nord de la Côte d’Ivoire.

Sous la coordination efficace de la dynamique équipe dirigée par le Coordonnateur Abdoulaye ALLIAGUI et le leadership éclairé du Ministre des Transports Amadou Koné, les travaux du Port sec de Ferkessédougou avancent à grands pas pour le bonheur des populations.

Le Port sec de Ferkessédougou, véritable levier de transformation économique, est appelé à jouer un rôle clé dans le désenclavement de la région du Tchologo et dans la réduction des coûts logistiques pour les opérateurs économiques.

Il est important de rappeler que le projet de port sec de Ferkessédougou représente un investissement global de 254 milliards de FCFA, visant à booster les échanges commerciaux et à réduire les coûts de transport. Ce projet comprend une plateforme logistique, un dépôt d’hydrocarbures et un marché de bétail avec un abattoir moderne.

Une partie des fonds est également allouée à l’indemnisation des populations impactées par le projet. Par exemple, plus de 4 milliards de FCFA ont déjà été versés aux populations impactées dans le mois de janvier 2025.

Le projet de port sec de Ferkessédougou est considéré comme un projet structurant qui mettra en valeur les potentialités économiques du nord de la Côte d’Ivoire et des pays voisins, tels que le Mali, le Burkina Faso et le Niger.

Rodrigue Koffi